Mobilisation sociale : ANPDDFE s’engage pour l’avenir des filles et des communautés. ANPDDFE a récemment organisé une vaste campagne de mobilisation sociale dans plusieurs villages, notamment Daratou, Galadima Awo, Guidan Mallam Moussa, Dan Turké, Garin Jaé, Gadamsi Bizo ainsi que dans les communes de Guidan Sori et Tchadoua. L’objectif principal était de sensibiliser les communautés aux dangers du mariage des enfants, à la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) et aux bénéfices de la scolarisation des filles.
Grâce à une approche participative impliquant les femmes, les hommes et les leaders communautaires et une implication massive des élèves du cours primaire. Cette initiative a permis de briser les tabous et de renforcer la prise de conscience sur ces enjeux cruciaux. Une attention particulière a été portée aux enfants des écoles primaires, pour leur offrir des perspectives d’un avenir meilleur à travers l’éducation.
Cette action reflète l’engagement indéfectible de ANPDDFE à promouvoir les droits des filles et des femmes, et à bâtir un futur où chaque enfant a la possibilité de grandir et d’étudier dans un environnement sûr et inclusif.
Ensemble, protégeons l’avenir de nos filles !
Dans les villages de Daratou, Galadima Awo, Guidan Mallam Moussa, Dan Turké, Garin Jaé, Gadamsi Bizo et les communes de Guidan Sori et Tchadoua, l’ANPDDFE a mené une vaste campagne de mobilisation sociale pour éveiller les consciences sur un fléau qui brise des vies : le mariage des enfants et les violences basées sur le genre (VBG).
Chaque jour, des filles voient leurs rêves s’éteindre sous le poids de traditions néfastes. Chaque fille non scolarisée est une vie en suspens, un potentiel perdu. Nous avons sensibilisé les parents, les leaders communautaires et les enfants eux-mêmes, afin de faire comprendre que l’éducation est une arme puissante contre la pauvreté et l’injustice.
En misant sur l’implication des écoles primaires, nous avons semé des graines d’espoir. Mais nous ne pouvons pas agir seuls. Votre soutien est essentiel pour poursuivre cette mission, pour briser les chaînes du mariage forcé et offrir aux filles un avenir où elles peuvent choisir, apprendre et s’épanouir.
Chaque don, chaque action compte. Rejoignez-nous et soyez le changement dont ces enfants ont besoin.


Agissez maintenant !
Mobilisation sociale : ANPDDFE s’engage pour l’avenir des filles et des communautés
ANPDDFE a récemment organisé une vaste campagne de mobilisation sociale dans plusieurs villages, notamment Dratou, Galadima Awo, Guidan Mallam Moussa, Dan Turké, Garin Jaé, Gadamsi Bizo ainsi que dans les communes de Guidan Sori et Tchadoua. L’objectif principal était de sensibiliser les communautés aux dangers du mariage des enfants, à la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) et aux bénéfices de la scolarisation des filles.
Grâce à une approche participative impliquant les femmes, les hommes et les leaders communautaires, cette initiative a permis de briser les tabous et de renforcer la prise de conscience sur ces enjeux cruciaux. Une attention particulière a été portée aux enfants des écoles primaires, pour leur offrir des perspectives d’un avenir meilleur à travers l’éducation.
Cette action reflète l’engagement indéfectible de l’ANPDDFE à promouvoir les droits des filles et des femmes, et à bâtir un futur où chaque enfant a la possibilité de grandir et d’étudier dans un environnement sûr et inclusif.


































Du 24 au 27, Girls Firsts Fund et ses partenaires au Niger ont organisé un atelier sur la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant. Adoptée en juillet 1990 lors de la 26ᵉ Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’Organisation de l’unité africaine, cette charte est entrée en vigueur le 29 novembre 1999. Elle vise à promouvoir et protéger les droits et le bien-être des enfants à travers le continent africain.La charte couvre divers aspects des droits de l’enfant, notamment le droit à l’éducation, à la santé, à la protection contre les pratiques culturelles néfastes, et met l’accent sur l’intérêt supérieur de l’enfant dans toutes les décisions le concernant. Elle interdit également le mariage des enfants et les fiançailles de filles et de garçons, stipulant que l’âge minimum du mariage doit être de 18 ans.
Le Niger a ratifié cette charte le 11 décembre 1999, démontrant ainsi son engagement envers la protection des droits des enfants. En travaillant sur cette charte, le groupe contribue à renforcer la mise en œuvre de ses dispositions au Niger, assurant ainsi un meilleur avenir pour les enfants du pays.